Archives de catégorie : Ftum, ftum !

On serait pas devenu un peu con-combre sur les bords ?

Quand la capacité à innover d’une Filière en est rendue là, faut plus comprendre, faut prier !
Veuillez excuser mon âge avancé, j’ai dû rater quelques épisodes de la saga concombre. De mon temps, nous avions déjà différents calibres (3/4 pour le bal des débutantes, 4-5 pour les desperate housewives et 5/6 pour les aventurières).
Puis, époque et crise sanitaire obligent, ils se sont glissés dans un film plastique censé ralentir la dessiccation et la perte de poids (du concombre bien sûr !), ils ont été scotchés par lot de 3 voire de 5 pour les gourmandes de promotions, ils ont fait une place à l’inévitable référence Bio, et on a même été repêcher les gueules cassées, oubliant courbure extrémiste et excroissances singulières pour combler les amies de la nature.
Déjà de quoi monter tout un étal de concombres et organiser une visite guidée/dégustation sur fond de « Madame rêve » du très regretté Bashung.
Mais voilà que le cercle familial s’agrandit à nouveau avec l’arrivée de 2 petits nouveaux.
Dans la famille concombre, je voudrais le concombre portion (150 grammes environ par pièce) et le demi concombre tranché et filmé !
Je me demande juste :
• Quel est l’interêt pour la distribution (celui de la production peut lui se comprendre) de commercialiser ces petits concombres, vendus majoritairement à la pièce, qui vont encore faire baisser le panier moyen et la consommation ?
• Qui n’a plus la force de trancher lui-même un concombre ? A quand le pré-mâché, voire le demi-digéré ?
Il ne manque plus que le concombre Commerce Équitable élevé sous la mère et on sera au bout du bout…
Je ne sais pas si le concombre a le vent en poupe mais, franchement, on frôle parfois le ridicule. Ad libitum.

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Peluquería

© Xdr

Une réunion préparatoire interminable, juste pour se donner les moyens d’agir mais sans agir, une prise de parole en retard (prévue à 14 h, effective à… 21 h), la cravate de travers à la Hollande, des questions alambiquées arrivées via le Dieu Wassap, pas de doute, on est bien en Espagne pour la première prise de parole du chef du gouvernement sur le Covid-19.
Mon amusement ne vient pas de là, mais du bug de la première liste des commerces qui pouvaient continuer à ouvrir, liste dans laquelle figuraient bizarrement… les coiffeurs ! D’abord, absence de besoin tant les coupes de cheveux sont stéréotypées ici. Pour les hommes : les jeunes ont la coupe footballeur playmobil faite à la tondeuse, portée avec l’indispensable barbe hipster, les vieux sont des Don Salluste chauves qui n’ont plus besoin de coiffeur depuis longtemps. Pour les femmes : l’Espagnole a de magnifiques cheveux marron foncé et longs, quasiment jamais coupés depuis toute petite, et dont elle rafraîchit seulement les pointes avant d’y glisser ses Ray-Ban Aviator. D’où a donc pu venir cette lubie de vouloir laisser ouverts les coiffeurs ? Une demande express du ministre Pablo – parce que je le vaux bien – Iglesias ? Une conséquence malheureuse de la parité dans le gouvernement ? Un copier/coller malheureux  ? On ne saura jamais, mais on a bien rigolé.

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Les raisins de la co… !

Une suractivité professionnelle m’ayant forcé à lever, à regret, la plume depuis quelque temps sur mon blog, je ne peux cependant résister aujourd’hui à l’envie de partager avec vous un petit bijou d’absurdité, à première vue insignifiant mais tellement représentatif d’une filière qui perd parfois pied.
Je vous présente… la barquette de grains de raisins à l’unité !
Nous avons fait connaissance fin décembre dans un hyper de Séville, dont je pense par ailleurs globalement le plus grand bien et auquel je suis fidèle.
Il existe en Espagne une tradition très sympa qui veut qu’on célèbre la nouvelle année en mangeant 12 grains de raisins aux 12 coups de minuit de l’horloge. Jusque-là tout va bien.
Mais, sorti du cerveau torturé d’un catman à l’humeur inventive, d’un producteur ne sachant plus quoi tenter pour tenter de créer de la valeur, d’un directeur qui a des amis en bord de mer, on ne saura probablement jamais qui a pondu ce truc.
Alors dans le désordre :
• plus de plastique que dans le visage de Cher, à un moment ou certains consommateurs font leurs achats en portant des teeshirts « Fuck plastic »,
• la majeure partie de l’emballage occultante alors qu’un grain de raisin détaché de sa rafle évolue plus vite que le programme d’Hidalgo maintenant pour la police municipale. D’ailleurs, dans la barquette, c’est un peu comme à l’Assemblée espagnole d’aujourd’hui : un mélange de vert et de marron dont personne ne veut vraiment mais, comme on n’a rien d’autre…
• conditionnement à Alicante, histoire d’ajouter des coûts de transport à ceux de conditionnement et mise en situation façon souk fin de marché,
• et, last but not least, la silhouette de la cloche stylisée pour ceux – à moins que le rappel graphique soit finalement pour eux – qui n’auraient pas compris le positionnement du produit !
On a beau être en Espagne, et en Andalousie de surcroît, pas connue pour être une région des plus stakhanovistes, je ne veux pas croire que l’action de détacher les grains de la rafle soit physiquement trop intense, ou alors le produit a été conçu pour aider les personnes âgées avec le même niveau d’énergie que le grand-père de Leatherface !
En guise de rappel au spectacle, le magasin n’ayant évidemment rien vendu avant le nouvel an, le produit est… soldé à 50 centimes en début d’année, des fois que le produit soit sous APC (atmosphère plus que contrôlée) et qu’un client veuille stocker pour l’an prochain.
Produit aberrant, prix au kg délirant, pas de vrai service, puis peur de jeter, tout y est !
À l’inverse, et pour rester sur une note positive, j’ai vu le même jour, sur une TG de citron vert (bateau, pas avion, c’est à dire moins vert mais bien plus juteux, les consommateurs espagnols connaissent bien les agrumes, eux !), simplement posée une bouteille de rhum, pour évoquer les Mojitos de la plus simple des façons. Bravo.
Et si un casse-c…ommerce des fraudes vient vous expliquer que alcool, que contact alimentaire, que je ne sais quoi d’autre, mettez-le aux huîtres. En les ouvrant pendant 8 heures pour le client, il apprendra à la fermer quelques minutes…

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30 la suite, 50 le retour

©Photo Xdr

Plus moyen aujourd’hui d’acheter un livre sans qu’il ne soit ceint d’un bandeau plus racoleur que la bande annonce du prochain lynchage télévisé d’Elise.

Nombre de lecteurs à date (Mein Kampf et les tomes 4 et 5 de Millenium sont pourtant là pour nous rappeler qu’il n’est pas forcément gage de qualité), recommandé par chaque pisse-copie formaté pour le genre dans lequel il sévit, vantant les mérites d’un confrère reconnaissant et qui lui rendra la pareille, annonce de la nouvelle Camilla Lackberg pour chaque débutante esquimaude et son incontournable duo de flics brisés par la vie, prix en tous genres ayant perdu leur semblant de crédibilité depuis qu’on a donné le Nobel à Kevin, pardon à Dylan, citation façon dernière phrase coup de cymbale d’un chapitre de page turner, tous ces fardages grossiers inspirent autant confiance qu’une écharpe de maire de LREM ou une robe réversible d’avocat corse. En plus, ces bandeaux sont presque toujours rouges, quand les fêtes de Bayonne et le génocide khmer sont là aussi pour nous rappeler que ledit bandeau rouge est rarement synonyme de culture, de raffinement et de modération…
De grâce, évitez-nous ces jarretelles en papier grossier et laissez-nous nous débrouiller avec la bonne vieille 4e de couv.

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I shot the Chérif

© Photo Xdr

Je me demande si la fange, pardon la frange crasseuse des gilets jaunes (précision importante : je ne parle pas ici de la grande majorité de braves gens légitimement révoltés, mais des casseurs d’extrême gauche/ droite et de la racaille descendue se servir dans les magasins) qui crache sans discernement sur les policiers – voire les pompiers pour les plus abrutis – depuis des semaines va, maintenant qu’elle fait dans son froc après l’attentat du marché de Noël, frileusement se remettre à les aimer et à aller se planquer derrière par crainte d’un gilet qui pourrait cette fois renfermer quelque chose de bien plus dangereux que des slogans éculés et rédigés avec des fautes d’orthographe.
Dommage que notre gouvernement, champion de la redistribution en tous genres, ne puisse pas doter de plus de neurones ceux qui étaient manifestement en RTT ou en délégation le jour de la distribution et tant mieux si l’indice Dos Jaune est enfin à la baisse à l’approche des fêtes…

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Beyrouth

J’ai déménagé récemment à Saint-Cannat et mon supermarché aixois favori ne pouvant malheureusement plus – à quelques kilomètres près – me livrer, j’ai dû tester la distribution locale pendant mes congés. Comme tout bon témoin, je jure de dire toute la vérité, rien que la vérité. En d’autres termes, même si ce qui suit est énorme, tout est rigoureusement vrai.
J’aurais pu simplement publier la photo des caddies remplis de tracts périmés et de produits pourris « disponibles » à l’arrivée sur le parking de ce supermarché, mais il m’a semblé utile de relater aussi quelques autres petites choses.
Rayons en partie vides et d’une saleté repoussante, palettes posées dans toutes les travées et obligeant les rares clients à un slalom façon Sébastien Loeb dans les lacets du col de Gérardmer, des défraîchis/pourris partout en FL, dont une pastèque complètement éclatée avec plus de mouches que sur un Viet’ blessé pendant l’ascension de Dominique (pour les incultes, calmez-vous, c’est une colline), et surtout un personnel effarant de non motivation affichée. Une seule caisse ouverte alors qu’il n’y a personne sur la batterie flambant neuve de self-scanning et que l’hôtesse « en charge » discute, au propre comme au figuré, le bout de gras avec sa collègue la cagole de service, les fesses sur le tapis (va-t-elle attaquer le lecteur optique s’il la sort en c… ode inconnu ?), râlant contre les racines noires qui reviennent vite et le prix du coiffeur !
Passage en caisse : j’aurai eu droit à 3 phrases de la part d’une hôtesse ressemblant au Père Fouras en plus maquillée et dont les coudes n’auront pas décollé une seule fois du tapis pour passer mes achats :
1 – « et voilà ! » à la fin du scan de mes quelques articles, dit avec le sourire et la motivation d’un professeur d’instruction civique dans un LEP de Trappes,
2 – « faut l’peser ça ! » craché à 2 jeunes qui venaient après moi et avait acheté un morceau de gingembre qu’ils se sont empressés d’aller reposer,
3 – « on a pas d’air, on a eu trop de monde ! » échangé en ma présence avec Miss Je fais semblant de rassembler les paniers pendant que les 1,20 m d’offres non adaptées accompagnant mon ticket s’impriment lentement.
Au moment de quitter ce cauchemar, je suis encore resté bloqué sur le parking car l’entrée était obstruée par… un camion de livraison qu’un employé essayait tant bien que mal de réceptionner à la mi-journée avec une liasse de BL à la main !
À bientôt 50 ans et avec la moitié d’expérience dans notre Filière, je n’ai jamais, même au fin fond de la Russie orientale, poussé la porte d’un magasin aussi mal tenu.
Depuis, après une inscription d’une facilité déconcertante, j’ai renoué avec la livraison à domicile, cette fois avec Auchan : direct. Pragmatisme et excellent rapport qualité/ prix sont manifestement toujours ancrés dans l’ADN de mon ancien employeur préféré.

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Client suivant ! À quand une Centrale de ventes ?

Même si des cultures d’entreprise trop différentes et les savonnages orchestrés sournoisement par quelques médiocres craignant pour leur place ont pu, parfois, lors de premières tentatives pas suffisamment préparées, faire capoter la démarche, les alliances aux achats entre enseignes de la GMS vont inexorablement se multiplier jusqu’à l’échelon Groupe.
A moyen terme, le niveau régional se chargera du seul approvisionnement, locaux compris, le niveau national des assortiments et de leurs spécificités (oui, on vend du chicon pleine terre et du pissenlit blanc dans le Nord, oui, il faut des nectavignes et de la batavia rouge dans le Sud !) mais le niveau continent puis monde du Groupe mettra assurément la main sur les achats purs via des méga centrales.
La partie Production de notre Filière a-t-elle bien intégré cette évolution ?
Sous couvert d’un surestimé parce que vertueux retour en grâce du local, dont les besoins sont d’ailleurs assouvis de préférence via les circuits courts et loin du Grand Satan saigneur de Pov’ Petits Producteurs, nous continuons – mentalité paysanne oblige – à nous crisper sur des approches dispersées et nombrilistes, chaque producteur étant intimement persuadé qu’il fait bien mieux et vaut bien plus que son voisin de champ.
Comme les hordes de barbares, pourtant bien plus nombreuses parfois, sont venues s’empaler par grappes sur les javelots dépassant des tortues romaines, les producteurs marchent encore souvent isolés vers l’abattoir, les boxes de négociation ressemblant plus pour certains à des postes d’estourbissement…
Mais ça n’est pas inéluctable.
Réfléchissez un peu et prenons un exemple. Pendant de longues semaines d’été, le melon pièce est la première vente du rayon FL voire, en fonction de son positionnement géographique, de l’hypermarché. Vous ne pensez pas qu’il y a là matière à négocier autrement que chaque producteur/coopérative dans son coin, pour peser plus lourd dans la balance face aux centrales ? Et pourtant, quels sont les débats récurrents qui font rage autour de notre cucurbitacée favorite ? Lisse ou écrit… vert ou jaune… 12L ou 12Q… voilà un truc dont le consommateur n’a vraiment rien à… ! Et chacun d’y aller de sa petite IGP, de ressortir les oripeaux de la Confrérie de Melon et Melèche, ou d’investir dans la cravate ou la cartonnette qui fera sûrement tomber le consommateur au fond d’un Puits d’Amour !
Prenez garde : d’un côté, les acheteurs, toujours plus puissants, plus formés, plus équipés, plus informés de l’amont et de la décomposition des coûts réels. Je ne sais pas si Terminator mais eux auront souvent raison…
De l’autre, les vendeurs. Il est grand temps « de monter à la Centrale » avec une tête différente de celle d’un ado à qui on impose d’aller visiter sa grand-mère le dimanche après-midi alors que ses potes l’attendaient en bas avec les BMX… Grand temps aussi de s’imposer via des interprofessions ne restant pas au fond de la tranchée quand les balles sifflent : laissez tomber les éternels enfumages marketing (la PLV jamais posée, le leaflet poubelle, la énième étude de GourouConseil…) et bossez les VRAIS sujets à enjeux : modalités de mise en marché pilotée, prix d’achat minimum, prix de vente maximum, encadrement des promotions…

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Aéroport de M… arseille !

©Photo Xdr

Je te dis pas que c’est pas injuste, je te dis que ça soulage !
Alors, aujourd’hui, juste pour me soulager, j’ouvre une nouvelle rubrique sur l’aéroport de Marseille. Cette liste de doléances sera complétée au fur et à mesure de mes pérégrinations.
⁃ Six ans maintenant que j’y prends chaque semaine des avions, six ans que je le connais « en travaux »…
⁃ Sas passeport biométrique systématiquement indisponible à l’arrivée car, selon les gardiens de la PAF, il y a des vols à risque. Raccourci facile avec les vols quotidiens en provenance du bled. Sympa, quand on a près de 15 heures de vols internationaux dans les pattes, de devoir faire la queue plus d’une heure au milieu des cartons d’électroménager et des béquilles/fauteuils roulants…
⁃ Le Quick Pass, pourtant payant, changé de place ou plus long que le chemin traditionnel car regroupé sans annonce avec les SkyPriority.
⁃ La clim et une partie des escalators systématiquement coupés pour faire des économies.
– Il faut aller s’enregistrer dans un hall, seul ouvert, pour revenir embarquer à l’autre bout.
– Le P7 qui ne délivre pas de justificatif, 11 minutes d’attente avant qu’un agent daigne se déplacer pour m’expliquer qu’il faut aller se l’imprimer… sur internet.

Peut-être le Directeur de cet aéropauvre a-t-il été rendu sourd aux plaintes des clients par la cisaille crispante des cigales, peut-être le seul objectif est-il d’être le moins cher, peut-être le Responsable Service Clients a-t-il été bétonné dans une dalle, toujours est-il que la prestation est absolument lamentable et ce en permanence. Ça n’est vraiment pas digne de la deuxième ville de France.

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Pas bio à voir !

©Photo Xdr

Je visitais récemment une société fascinante de professionnalisme, spécialisée dans la lutte biologique pour la protection des cultures.
J’ai pu faire connaissance, entre autres auxiliaires, avec Aphidius Colemani, une guêpe parasite très efficace dans la lutte contre certains pucerons : elle infecte l’intérieur du puceron qui va alors se momifier et mourir. Collé au microscope, je me posais la question de savoir si les bobos nostalgiques de Maya qui s’élèvent – à juste titre – avec les apiculteurs contre la disparition des abeilles seraient aussi prompts à se mobiliser contre le génocide des pucerons. Après tout, ils sont victimes de milliers de mini aliens en pyjama rayé (non, Riddley, le 1er volet avec Sigourney, délicieusement angoissant, pas la daube réchauffée de Covenant !) et nous sommes complices de ce nano massacre. Une nouvelle cause pour Super Hipster ou Vegan Woman ?

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Inter-minables

© Xdr

Je repensais à la lumineuse réplique du professeur Henry Jones dans la Dernière Croisade, concernant « les abrutis de marcheurs au pas de l’oie qui feraient mieux de lire les livres au lieu de les brûler ! ».

Et j’écoute ces jours-ci les nouvelles de ceux qui marchent pour manifester. Des planqués de naissance, voire de père en fils, brandissant « 50 nuances de Grève », qui, manipulés par un Super Mario heureusement en perte de vitesse à la Confédération Générale des Traîne-savates et son homologue de Sud Racaille, prennent ceux qui travaillent vraiment en otage en tentant de nous expliquer qu’on ne doit surtout rien toucher d’une société qui a 55 Milliards d’Euros de dette quand les billets nous coûtent quand même plus cher qu’une maîtresse à Paris. Quelques supposés étudiants pastèques (verts à l’extérieur, rouges à l’intérieur) planqués eux derrière des masques d’animaux, qui, au lieu d’étudier pour faire en sorte de ne pas tripler leurs 1ère année de Psycho ou de Poterie et travail du bois (filière peut-être en devenir finalement compte tenu du montant des dégradations opérées dans les FAC…), devraient laisser tranquilles ceux qui veulent étudier à Tolbiac ou ailleurs et n’ont aucune envie de chanter « J’aurais voulu être un zadiste ». Un ancien secrétaire d’état avec plus de grammes d’alcool dans le sang qu’il n’a jamais eu de suffrage à une élection même obscure, qui confond drague et harcèlement de Placé… pardon déplacé, puis insulte videur et policiers pour sortir d’un anonymat ou son insipidité de longue date l’a toujours cantonais. Le puits est sans fond et chaque journal télévisé nous rappelle que nous sommes décidément plus près de la Pro D2 que de la Coupe d’Europe…

Avec les veaux décérébrés qu’il a à gouverner, pas étonnant que Mr Macron s’intéresse autant à l’intelligence artificielle.

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